Code de la commande publique (Plan) >Définition
Le Code de la commande publique, entré en vigueur le 1er avril 2019, constitue une réforme majeure unifiant et modernisant le droit des contrats publics en France. Issu de l’ordonnance n°2018-1074 et du décret n°2018-1075, il rassemble en un texte unique l’ensemble des règles relatives aux marchés publics et concessions, auparavant dispersées. Structuré en trois parties principales (définitions, marchés publics, concessions) complétées par 21 annexes, ce code de 1747 articles à l’origine poursuit plusieurs objectifs : simplifier les règles existantes, renforcer la sécurité juridique, faciliter l’accès des PME aux marchés publics et promouvoir le développement durable. Il introduit également des innovations importantes comme la définition des offres anormalement basses ou la consécration de la modification unilatérale des contrats.
Introduction au nouveau Code de la commande publique : Avancées et impacts
Le code de la commande publique (CCP) rassemble l’ensemble des règles applicables aux marchés publics, qu’il s’agisse des marchés de travaux, de fournitures ou de services. Il fixe les règles encadrant les différentes étapes de la passation des marchés publics, depuis la préparation du dossier de consultation jusqu’à l’exécution du contrat.
De plus, le CCP aborde des aspects essentiels tels que les procédures de mise en concurrence, les critères de sélection des offres, les obligations des parties prenantes, les règles de sous-traitance, les modalités de résolution des litiges, et bien d’autres.
L’objectif : simplifier les règles, renforcer l’accessibilité, améliorer la sécurité juridique et optimiser la gestion des transactions entre les acteurs publics et privés.
Fruit d’une démarche de rationalisation et de modernisation, la codification du CCP vise à simplifier et clarifier les dispositions applicables, tout en renforçant l’accessibilité et la sécurité juridique du cadre réglementaire.
Code de la commande publique : une fusion d’une ordonnance et d’un décret
Le code de la commande publique entré en vigueur le 1 er avril 2019 est constitué par l’ordonnance n° 2018-1074 du 26 novembre 2018 et son décret d’application n° 2018-1075 du 3 décembre 2018 portant partie réglementaire du code de la commande publique.
L’ordonnance porte la partie législative du code de la commande publique et son décret d’application porte la partie réglementaire du code de la commande publique.
L’ordonnance est prise sur le fondement de l’article 38 de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique. Elle est une étape primordiale de la rationalisation et la modernisation du droit de la commande publique. Elle a été initiée avec la transposition des directives européennes de 2014.
Quelles sont les avancées de ce nouveau code de la commande publique ?
L’intérêt d’un tel regroupement se retrouve dans :
- Regroupement au sein d’un texte unique via une intégration des dispositions applicables aux contrats de la commande publique ;
- Présentation cohérente et ordonnée du texte ;
- Codification permettant une simplification pour les acteurs de la commande publique (acheteurs, autorités concédantes et opérateurs économiques), facilitant la lecture des règles applicables précédemment éparpillées
- Codification à droit constant respectant hiérarchie des normes
- Abroger des dispositions devenues inutiles.
Codification des ordonnances relatives aux marchés publics et aux contrats de concession
L’ordonnance du 26 novembre 2018 codifie :
- les dispositions des ordonnances n° 2015-899 du 23 juillet 2015 relative aux marchés publics et n° 2016-65 du 29 janvier 2016 relative aux contrats de concession,
- les règles régissant le droit de la commande publique qui figuraient dans divers textes (maîtrise d’ouvrage publique et ses relations avec la maîtrise d’oeuvre privée, sous-traitance, délais de paiement, …)
La codification du droit de la commande publique ne se limite pas à regrouper les différents contrats et leurs règles, mais vise plutôt à mettre en avant les principes clés de la commande publique et à établir de manière cohérente les processus de passation et d’exécution des contrats, dans le but de simplifier et rendre le droit plus accessible.
La structure du code de la commande publique
Une première partie est consacrée à des définitions et comprend un titre préliminaire relatif à des principes communs. Le nouveau code distingue ensuite les marchés publics (deuxième partie du CCP) et les contrats de concession (troisième partie du CCP),
Le CCP s’organisation de manière thématique puis distingue les catégories de contrats en les fractionnant selon la chronologie de la vie du contrat, la préparation du contrat et son exécution.
Le code de la commande publique rassemble environ trente textes fréquemment utilisés par les praticiens de la commande publique. De plus, il intègre toutes les mesures liées aux solutions de règlement extrajudiciaire des conflits, encourageant ainsi les parties prenantes à opter pour des méthodes rapides et non contentieuses pour résoudre leurs désaccords.
L’origine du Code de la commande publique
Le projet de Code de la commande publique a connu un cheminement complexe avant d’aboutir à son adoption définitive. Retour sur les étapes clés ayant conduit à ce texte fondateur.
La relance du projet en 2016
C’est la loi Sapin II relative à la transparence de 2016 qui relance les tentatives précédentes d’actualisation du projet en autorisant le gouvernement à codifier par ordonnance la partie législative du code de la commande publique.
S’ensuit alors un vaste chantier mené de manière collaborative avec l’ensemble des acteurs publics et privés.
Une co-construction avec les acteurs de la commande publique
Pendant près de 2 ans, acheteurs, opérateurs économiques, fédérations professionnelles et juristes sont associés à l’élaboration du futur code.
Une consultation publique permet de recueillir près de 800 contributions pour améliorer le texte.
Cette démarche participative était essentielle pour créer un code répondant aux attentes des utilisateurs finaux.
L’adoption finale en 2018-2019
Le processus aboutit à l’adoption de l’ordonnance portant partie législative du code en novembre 2018, complétée par un décret d’application publié en décembre 2018.
Après de nombreuses années d’attente, le Code de la commande publique entrera finalement en vigueur le 1er avril 2019.
Composition et structure du Code de la commande publique
Le CCP rassemble et ordonne en un texte unique l’ensemble des règles applicables aux contrats de la commande publique en France. Décryptage de sa structure.
Un code de 1747 articles à l’origine
Le Code de la commande publique comporte 1747 articles au total dans sa version initiale.
Ces articles sont répartis entre :
- 961 articles dans la partie législative (L)
- 786 articles dans la partie réglementaire (R)
Cette répartition résulte de l’architecture législative / réglementaire voulue par le législateur.
21 annexes thématiques
Le CCP comporte également 21 annexes venant préciser certaines dispositions sur des aspects plus techniques ou financiers.
Ces annexes facilitent l’accès à des informations de référence pour les acteurs de la commande publique.
Une structure sur 4 niveaux
La structure du Code de la commande publique s’organise selon un plan à 4 niveaux :
- Parties (2 chiffres)
- Livres (3 chiffres)
- Titres (4 chiffres)
- Chapitres (5 chiffres)
Exemple : Les articles L. 2193-1 à L. 2193-14 régissent les règles relatives au chapitre 3 du titre IX du livre Ier de la partie 2.
Cette architecture précise permet de se repérer facilement dans le Code.
Un titre préliminaire fondateur
Le CCP est précédé d’un titre préliminaire rappelant certains grands principes :
- Le choix pour un acheteur d’utiliser ses propres moyens plutôt qu’un contrat
- Les principes fondamentaux de la commande publique (liberté d’accès, égalité de traitement…)
- Les principales règles des contrats administratifs
Ce titre pose ainsi le cadre de référence dans lequel s’inscrit le Code de la commande publique.
Objet et champ d’application du Code
A qui et à quoi s’applique concrètement le Code de la commande publique ? Clarification de son champ d’application.
Des règles encadrant les contrats de la commande publique
Le CCP rassemble les règles applicables aux contrats de la commande publique, regroupant :
- Les marchés publics
- Les contrats de concession
Il définit les règles relatives à ces contrats de leur passation jusqu’à leur exécution.
Applicable à tous les acheteurs publics
Le Code s’applique à l’ensemble des acheteurs publics :
- L’Etat, les collectivités territoriales et leurs établissements publics
- Les organismes de Sécurité sociale
- Les autres organismes chargés d’une mission de service public
Applicable à certains acheteurs privés
Le CCP concerne également certains acheteurs privés :
- Les entreprises publiques agissant en tant qu’entités adjudicatrices
- Les sociétés d’économie mixte remplissant certaines conditions
- Certaines association loi 1901.
Tous les types de contrats publics sont concernés
Le Code couvre tous les secteurs de la commande publique :
- Travaux, fournitures, services…
- Prestations intellectuelles, techniques, financières, juridiques…
- Contrats globaux incluant construction et entretien
Aucun pan de la commande publique n’échappe au CCP.
Applicable depuis le 1er avril 2019
Le CCP s’applique à tous les contrats pour lesquels une procédure a été engagée ou un avis publié depuis le 1er avril 2019.
Cette date marque l’entrée en vigueur effective du Code dans l’ordonnancement juridique français.
Objectifs poursuivis par le Code de la commande publique
La mise en œuvre de ce vaste chantier répondait à plusieurs objectifs pour moderniser le droit des contrats publics en France.
Clarifier et simplifier les règles existantes
L’éparpillement des règles dans de multiples textes (directives EU, ordonnances, lois, décrets…) nuisait à la lisibilité du droit.
Le Code vise à les rassembler et les ordonner pour une meilleure accessibilité.
Accroître la sécurité juridique
La sécurité juridique s’en trouve renforcée pour les acheteurs comme les opérateurs économiques.
Le CCP leur fournit un texte de référence unique pour sécuriser les procédures de passation et d’exécution.
Améliorer l’accès des PME à la commande publique
Le Code comporte diverses avancées pour favoriser l’accès des PME aux marchés publics :
- Relèvement des seuils des marchés sans publicité ni mise en concurrence
- Encadrement renforcé de l’allotissement
- Elargissement des possibilités de sous-traitance
- Amélioration des délais de paiement…
Renforcer la prise en compte du développement durable
Le CCP intègre davantage la dimension développement durable dans la commande publique :
- Possibilité de réserver des marchés à des opérateurs employant des travailleurs défavorisés
- Prise en compte du coût du cycle de vie pour choisir l’offre économiquement la plus avantageuse
- Condition d’exécution à caractère social ou environnemental …
Moderniser l’efficacité de la commande publique
Grâce à ces avancées, l’achat public devient un véritable levier d’efficacité et de transformation au service de l’intérêt général.
Les nouveautés introduites par le Code de la commande publique
Le CCP introduit des nouveautés par rapport à l’ancien droit épars des contrats publics. Tour d’horizon des principaux changements.
La définition des offres anormalement basses
Le CCP reprend la jurisprudence du Conseil d’État et définit pour la première fois dans un texte l’offre anormalement basse. Est considérée comme telle une offre dont le prix est manifestement sous-évalué et susceptible de compromettre la bonne exécution du marché public. Cette définition apporte un cadre juridique à la notion d’offre anormalement basse, même si des précisions seront encore nécessaires.
La consécration de la modification unilatérale des contrats
Le CCP consacre le pouvoir de l’administration de modifier unilatéralement un contrat administratif, à condition de ne pas en bouleverser l’économie générale et d’indemniser le cocontractant. Cette prérogative issue de la jurisprudence est désormais reconnue dans un texte général.
L’unicité de la procédure avec négociation
La procédure avec négociation devient unique, en remplacement de l’ancienne procédure négociée et de l’ancienne procédure concurrentielle avec négociation. Cette simplification facilite l’accès à la négociation.
La définition des techniques d’achat
Le code a introduit une nouveauté importante en définissant clairement la notion de « techniques d’achat », ce qui n’était pas toujours précisément distingué dans les textes précédents entre les techniques d’achat et les procédures. Selon le code, les techniques d’achat incluent l’accord-cadre, le concours, le système de qualification des entités adjudicatrices, le système d’acquisition dynamique, le catalogue électronique et les enchères électroniques.
L’extension du « Dites-le nous une fois »
Le principe du « Dites-le nous une fois », destiné à alléger les charges administratives, est étendu aux procédures adaptées alors qu’il ne valait jusqu’alors que pour les procédures formalisées. C’est une simplification bienvenue.
L’incitation aux modes alternatifs de règlement des litiges
Le CCP consacre tout un chapitre au règlement amiable des différends (conciliation, médiation…) afin d’encourager les acteurs à privilégier ces modes de résolution plus rapides et moins coûteux.
L’assouplissement du recours aux avenants
Le CCP assouplit les conditions de recours à un avenant pour des prestations supplémentaires en supprimant l’obligation de démontrer l’absence d’alternative. Cette évolution offre une plus grande marge de manœuvre aux acheteurs publics.
Ces avancées traduisent la volonté de modernisation et de clarification du droit qui a prévalu lors de l’élaboration du Code de la commande publique. Elles devraient contribuer à accroître l’efficacité de la commande publique.
L’encadrement de la résiliation des marchés publics
Alors que les possibilités de résiliation n’étaient auparavant mentionnées que dans les CCAG, le CCP intègre désormais dans la partie législative les motifs de résiliation d’un marché public : faute du titulaire, motif d’intérêt général, cas de force majeure etc. Cet encadrement juridique renforce la sécurité des contrats.
Conclusion
L’entrée en vigueur du Code de la commande publique marque incontestablement une étape majeure dans la modernisation du droit des contrats publics en France.
Ce texte de référence unique apporte des avancées sensibles en termes d’accessibilité, d’efficacité, de sécurité juridique et de prise en compte du développement durable.
Acheteurs comme opérateurs économiques disposent désormais d’un outil essentiel pour sécuriser et optimiser l’ensemble du cycle de vie de leurs contrats publics.
Plan du code de la commande publique
Titre Préliminaire (Articles L1 à L6)
PREMIERE PARTIE : DÉFINITIONS ET CHAMP D’APPLICATION (Articles L1100-1 à L1481-2)
- Livre Ier : Contrats de la commande publique (Articles L1100-1 à L1122-1)
- Livre II : Acteurs de la commande publique (Articles L1210-1 à L1220-3)
- Livre III : Contrats mixtes (Articles L1300-1 à L1330-1)
- Livre IV : Dispositions relatives à l’Outre-mer (Articles L1400-1 à L1481-2)
DEUXIEME PARTIE : MARCHÉS PUBLICS (Articles L2000-1 à L2728-1 et Articles R2100-1 à R2691-1)
- Livre préliminaire : Marchés publics mixtes (Articles L2000-1 à L2000-5)
- Livre Ier : Dispositions générales (Articles L2100-1 à L2197-7 et Articles R2100-1 à R2197-25)
- Livre II : Dispositions propres aux marchés de partenariat (Articles L2200-1 à L2236-1 et Articles R2200-1 à R2236-1)
- Livre III : Dispositions applicables aux marchés de défense ou de sécurité (Articles L2300-1 à L2397-3 et Articles R2300-1 à R2397-4)
- Livre IV : Dispositions propres aux marchés publics liés à la maîtrise d’ouvrage publique et à la maîtrise d’œuvre privée (Articles L2410-1 à L2432-2 et Articles R2412-1 à R2432-7)
- Livre V : Autres marchés publics (Articles L2500-1 à L2522-1 et Articles R2521-1 à R2522-1)
- Livre VI : Dispositions relatives à l’outre-mer (Articles L2614-1 à L2691-2 et Articles R2611-1 à R2691-1)
- Livre VII : Dispositions relatives aux circonstances exceptionnelles (Articles L2711-1 à L2728-1)
TROISIÈME PARTIE : CONCESSIONS (Articles L3000-1 à L3428-1 et Articles R3111-1 à D3381-5)
- Livre préliminaire : Contrats de concession mixtes (Articles L3000-1 à L3000-4)
- Livre Ier : Dispositions générales (Articles L3100-1 à L3137-5 et Articles R3111-1 à R3135-10)
- Livre II : Autres contrats de concession (Articles L3200-1 à L3222-1 et Articles R3221-1 à R3222-1)
- Livre III : Dispositions relatives à l’outre-mer (Articles L3321-1 à L3381-3 et Articles D3311-1 à D3381-5)
- Livre IV : Dispositions relatives aux circonstances exceptionnelles (Articles L3411-1 à L3428-1)
Annexes du code de la commande publique (31/03/2019)
- Arrêté du 22 mars 2019 portant l’annexe préliminaire du code de la commande publique
- Annexe 1 : Avis relatif à la liste des activités qui sont des travaux en droit de la commande publique
- Annexe 2 : Avis relatif aux seuils de procédure et à la liste des autorités publiques centrales en droit de la commande publique
- Annexe 3 : Avis relatif aux contrats de la commande publique ayant pour objet des services sociaux et autres services spécifiques
- Annexe 4 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant la liste des impôts, taxes, contributions ou cotisations sociales donnant lieu à la délivrance de certificats pour l’attribution des contrats de la commande publique
- Annexe 5 : Avis relatif à la nature et au contenu des spécifications techniques dans les marchés publics
- Annexe 6 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant les modalités de mise à disposition des documents de la consultation et de la copie de sauvegarde
- Annexe 7 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif aux fonctionnalités et exigences minimales des profils d’acheteurs
- Annexe 8 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif aux exigences minimales des moyens de communication électronique utilisés dans la commande publique
- Annexe 9 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant la liste des renseignements et documents pouvant être demandés aux candidats aux marchés publics
- Annexe 10 : Avis relatif à la liste des dispositions internationales en matière de droit environnemental, social et du travail permettant de rejeter une offre comme anormalement basse en matière de marchés publics
- Annexe 11 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif aux modalités de prise en compte des incidences énergétiques et environnementales des véhicules à moteur dans la passation des marchés publics
- Annexe 12 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif à la signature électronique des contrats de la commande publique
- Annexe 13 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant les modèles de garantie à première demande et de caution personnelle et solidaire
- Annexe 14 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif au certificat de cessibilité des créances issues de marchés publics
- Annexe 15 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif aux données essentielles dans la commande publique
- Annexe 16 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif au fonctionnement et à la composition de l’observatoire économique de la commande publique
- Annexe 17 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif au recensement économique de la commande publique
- Annexe 18 : Arrêté du 22 mars 2019 relatif aux comités consultatifs locaux de règlement amiable des différends relatifs aux marchés publics
- Annexe 19 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant le modèle d’avis pour la passation des marchés publics et des accords-cadres de défense ou de sécurité
- Annexe 20 : Arrêté du 22 mars 2019 précisant les modalités techniques d’exécution des éléments de mission de maîtrise d’œuvre confiés par des maîtres d’ouvrage publics à des prestataires de droit privé
- Annexe 21 : Arrêté du 22 mars 2019 fixant le modèle d’avis pour la passation des contrats de concession